Le 5 mars 1933, jour d'élections — il n'y en aura plus, ensuite, pendant une décennie —, des coups retentissent à la porte de l'appartement de Gabriele Tergit, romancière et chroniqueuse judiciaire. Ce sont les sections d'assaut (SA), groupe paramilitaire nazi, qui viennent l'arrêter. Elle est juive. (...)
Site référencé: Le Monde Diplomatique